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Mon histoire, en bref…

1. Salut, la vie. Marie, mon petit nom. Je suis québécoise, mais je me suis toujours sentie étrangère.

 

Je ne connaissais pas encore la spiritualité dans son essence concrète. Dès mon plus jeune âge, je ressentais un écart avec mon entourage. Je me sentais différente des autres ainsi que de la société que je ne connaissais pas encore à cette époque. Il y avait une distance entre les gens et élèves de ma classe. Je n’étais pas sur la même longueur d’onde et j’avais toujours cette impression de ne pas vivre dans les mêmes énergies que la plupart des gens, ou du moins, de la même façon. De part cet écart, je m’isolais, mais étant aussi indépendante d’esprit, la solitude ne me dérangeait pas et j’aimais bien faire mes petites choses dans mon coin, isolée des autres. J’adorais les animaux, la nature et partir à l’aventure. Mais j’étais aussi bien dans ma chambre à dessiner ou écrire.

2. Des êtres. À 11 ans, je voyais le nombre 11 partout où j’allais, s’en est suivit ensuite au nombre 33. Il me croisait partout où je mettais les pieds et je me réveillais souvent la nuit dans les heures ayant 33 minutes. À chaque fois que je posais mon regard sur lui, c’est comme s’il me regardait et me parlait de manière télépathique. Cela a duré une bonne période de temps. C’était mystérieux. À cette époque, il n’y avait pas d’Internet comme nous le vivons aujourd’hui, j’ai donc grandi avec ce mystère.

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J’ai grandi dans une famille chrétienne et j’ai été baptisée à la naissance. Ma mère a vu la Sainte Marie au coin de sa chambre lorsqu’elle était jeune, ma grand-mère a aussi vécue une apparition similaire. Quant à mon père, il a vu Jésus-Christ une nuit de printemps et il a partagé son expérience dans plusieurs églises.

3. Décès de ma mère. Le printemps 2006 a été particulièrement difficile. J’ai perdu ma mère de 45 ans, à l’âge de 12 ans, un mois avant mon anniversaire et un mois après l’anniversaire de mon père. Elle est décédée d’un cancer des poumons. Ni elle ni personne de son entourage fumait. Les médecins ont dit qu’elle n’avait qu’un seul pourcent de chance d’avoir ce type de cancer, mais malheureusement, elle n’y a pas été épargnée.

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Un matin, mon père faisait le petit déjeuner avec moi et mon frère. Ma mère était assise dans le salon situé à côté de la cuisine, car elle avait une forte douleur dans les jambes. Elle s’est soudainement mise à pleurer beaucoup et a dit à mon père qu’elle voulait aller à l’hôpital. À ce moment, je me suis mise à m’inquiéter, car ce n’était pas dans l’habitude de ma mère de ne rien faire et de pleurer d’une façon agonisante. À cet instant, je me suis discrètement cachée dans ma chambre. Je ne voulais pas inquiéter ma famille, encore moins ma mère, à me voir pleurer. Mon père a aussitôt partie la voiture pour aller à l’hôpital. Au bord de la porte de ma chambre, j’ai discrètement porté un regard sur ma mère se dirigeant en béquilles vers la porte de la maison. Elle a franchie le portique, fermé la porte derrière elle, et ce fût la dernière fois.

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Moi, mon frère et le reste de la famille, sommes allés la voir à l’hôpital le samedi de cette même semaine. Mon père était déjà à l’hôpital, dans sa chambre, pour y porter soin et présence. Lorsque nous sommes arrivés et rentrés dans la chambre, ma mère a demandé à mon père s’il avait dit… Devant tous, j’ai demandé à mon père de quoi il parlait. J’étais au coin de la chambre et il m’a regardé dans les yeux d’un regard noyé. Il m’a dit que ma mère allait mourir, qu’il n’y avait rien à faire et que les médecins n’ont pas pu la sauver. Sa voix était triste, je voyais l’effort qu’il mettait pour prononcer ces paroles. C’était la première fois que je voyais les larmes de mon père, mon frère et toute ma famille. Je n’ai pas pleuré les premières minutes, j’étais sous un choc. Je me suis ensuite assise sur la chaise située à droite du lit où était ma mère et j’ai pleuré à chaudes larmes. Elle m’a doucement pris les mains et m’a dit combien elle m’aimait. Je voyais sa tristesse et sa déception dans son regard. Mon cœur s’est brisé à ce moment. Sa famille et ses enfants était la chose la plus importante.

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Le lendemain, dimanche, mon père passait un petit temps à la maison pour s’occuper de la famille. Un médecin l’a soudainement appelé. Il lui a dit que ma mère allait mourir dans les prochaines heures et que si nous devions lui rendre visite, ce serait pour maintenant. Mon père et le reste de la famille se sont donc aussitôt dirigés à l’hôpital, mais moi, j’ai voulu rester seule dans ma chambre. Je me sentais coupable de ne pas y aller, mais la douleur que j’éprouvais était trop vive. J’ai alors resté seule à la maison à regarder la forte pluie tomber dans la fenêtre de ma chambre. J’écoutais les larmes du ciel, mais aussi le silence de la maison. Elle est décédée en cette journée de la fête des mères, le 14 mai 2006. Elle est partie en paix. Elle disait qu’elle voyait beaucoup de lumière, de jolies fleurs et des couleurs plus que vivantes, et elle a également vu ses proches décédés.​​

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Je ne peux décrire cette sensation qu’ai-je eue lorsque je me suis dit que plus jamais je ne reverrai revenir ma mère à la maison, elle, qui était toujours chez elle à s’occuper de sa famille.

​4. Voyager l’ailleurs. Quelques jours plus tard, j’ai vécu une expérience au-delà de ce que je connaissais.

 

Une nuit, je dormais et mon âme a sorti de mon corps. J’étais à côté de mon lit, à droite. Il y avait le noir de la nuit, mais aussi une sorte de brouillard tout autour de moi, dans la pièce. C’était « brumeux » avec quelques points de lumière. J’ai soudainement ressenti intensément une présence. C’était l’énergie de ma mère. Lorsque je me suis retournée, elle était là, debout devant moi, portant des vêtements qu’elle portait dans son vivant. Son visage s’est rapproché de moi, c’était un peu comme une image, mais qui semblait vivre et respirer. Elle semblait sourire malgré qu’elle avait un air plutôt neutre. Je voyais chaque détail de son visage : ses yeux brillants d’une couleur ambrée, sa peau lisse comme une peau d’ange, et un éclat de lumière sur son visage. Ses cheveux foncés étaient brillants et parfaitement ondulés, avec un peu de volume dans le haut de la tête. Elle n’avait aucune imperfection de ce que la vieillesse ou maladie peut créer sur un corps (rides, boutons, rougeurs, etc.). Elle était magnifique. Je lui ai demandé si elle allait revenir, elle m’a alors regardée dans les yeux et m’a enlacée dans ses bras. Elle m’a dit, d’une voix douce et sous un ton désolé, combien elle m’aimait. Je l’ai ensuite vu partir : elle s’est retournée et est partie vers la porte de ma chambre où il y avait une grande lumière qui jaillissait de celle-ci. Je voyais cette fameuse brume grisâtre s’estomper graduellement derrière elle, au fil de ses pas doux et lents. Je me suis ensuite « réveillée », bouleversée.

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C’était une de mes premières expériences spirituellement très marquée.​​

5. Une famille qui se sépare. Quelques semaines plus tard après le décès de ma mère, mon frère, âgé de cinq ans plus vieux que moi (18 ans), m’a réveillée un matin et m’a dit qu’il partait dès maintenant. Ça ne faisait pas très longtemps qu’il avait son permis de conduire, mais il a tout de même déménagé à plusieurs heures de distance du domicile familial. Il trouvait ça lourd, et bien que j’étais surprise et triste de son départ, je comprenais totalement ce qu’il ressentait.

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​​J’ai donc grandi avec mon père. Il a été un bon pilier et a bien réussi à surmonter le deuil. Je m’entendais bien avec lui malgré certaines querelles par moment. Il devait prendre soin de la maison et de la famille en même temps, ce qui a parfois causé quelques accrochages, mais c’était normal au vu de la situation où il devait à présent tout faire en même temps de travailler. Mais je l’aidais dans certaines tâches.

6. L’école, et ma vie comme une enquête… Suite au décès de ma mère, l’automne arrivant, j’ai commencé l’école secondaire pour la première fois. J’avais 13 ans.

 

En ce début de la première année de l’école secondaire, mon père m’avait acheté un cadenas pour mon casier scolaire. Il était rouge. Lorsque je l’ai déballé, j’ai vu que le code était 11, 22, 33. Je n’y avais pas apporté nécessairement de l’importance, mais je voyais quelque chose de spécial dans cette suite de nombres. Ce n’est que plusieurs années plus tard que j’ai découvert qu’ils avaient bel et bien une particularité. En numérologie, le 11, 22 et 33 sont les maîtres-nombres. Le 33 m’a accompagnée pendant une bonne partie de mon adolescence. J’ai découvert sa symbolique vers la vingtaine, l’âge où j’ai découvert la numérologie, c’est donc à cette période que j’ai fait le calcul de mon chemin de vie, résulté au nombre 33.

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Comme je le vivais à l’école primaire, l’école secondaire n’était pas facile. J’avais encore cette différence avec les autres et le système dans lequel je ne m’accordais pas. Bien que j’ai grandi dans la spiritualité, j’ignorais ce terme à l’époque. J’étais jeune, mais j’ai aussi passé de nombreuses années à me faire influencer, essayer de penser et être comme tout le monde. J’étais entouré de personnes qui voulaient m’éduquer comme elles et j’ai collectionné beaucoup d’échecs quant aux attentes de ce que la société veut apporter comme éducation. L’école n’était pas ma voie. Malgré les essais, je ne rentrais simplement pas dans le cadre et je n’y adhérais involontairement pas. De part ces échecs, j’ai déçu beaucoup de personnes, ne comprenant pas ma manière de raisonner ni même de vivre. Les réponses que je donnais à mes examens d’école étaient souvent mal comprises, j’échouais de part le fait que je ne donnais pas des réponses comme le cadre éducatif s’attend à recevoir. J’avais souvent des « discours » différents des autres, dans la manière de penser, de comprendre et de voir la vie. J’ai alors coulé beaucoup de cours, j’étais toutefois très bonne en français. C’était ma matière préférée. J’adorais écrire et m’exprimer, bien que j’étais toujours l’extraterrestre de la classe.

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Début vingtaine, j’ai quitté l’école et j’ai décroché mon premier emploi.

7. Une femme m’a dit. Après trois ans à travailler dans les vergers, j’ai quitté, car le salaire était au minimum et il n’y avait pas de très grandes augmentations salariales. J’ai donc décroché un nouvel emploi, cette fois en mécanique. C’était zéro mon domaine, mais je voulais mettre des sous de côté pour mon premier appartement.

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Un jour, en finissant de travailler, je marchais, en route vers chez moi. J’ai soudainement croisé une carte sur le trottoir, bien droite devant moi. J’ai pris la carte dans mes mains et j’ai ressenti une très belle énergie à ce moment. J’ai d’ailleurs encore cette carte aujourd’hui, en souvenir.

 

Il m’est arrivé quelque chose d’assez spécial à ce nouvel emploi. J’avais une collègue avec qui je ne parlais pas particulièrement, elle avait les yeux d’un bleu perlé avec des cheveux blonds et lisses, elle devait avoir entre 40 et 50 ans. Un matin, elle est venue me voir en début de pause lorsque j’étais en train d’essayer de déverrouiller le cadenas de mon casier. Toujours solitaire, j’aimais bien prendre mes pauses avec moi-même. Il n’y avait presque personne cette journée-là. Elle s’est approchée de moi, je me suis retournée vers la droite et m’a regardée dans les yeux, tête légèrement penchée vers la gauche. Elle m’a dit que de grandes choses m’attendaient. Moi, air intrigué, je l’ai à mon tour fixé dans les yeux et elle s’est retournée tranquillement vers la sortie de la pièce avec un sourire respirant une certaine sagesse. Trois jours plus tard, après trois mois à ce même emploi, on m’a convoquée dans le bureau de la direction pour me dire que l’on ne me gardait pas. J’ai donc perdu mon travail et j’ai été sur l’assurance-emploi pendant plusieurs mois.

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Quelques semaines plus tard après cette rupture de contrat professionnel, un matin, je me suis étrangement sentie intriguée par le tiroir du salon chez mon père. Je l’ai ouvert, toujours par ordre de circonstances, et il y avait un paquet de cartes rangé dans le tiroir. Il appartenait à la blonde à mon père. Intriguée, je lui ai demandé si je pouvais l’utiliser, elle m’a dit oui, et c’est ainsi que j’ai commencé à tirer aux cartes. Suite à la carte que j’avais trouvée en chemin et ce que la femme m’avait dit à mon travail, je me suis sentie intriguée et attirée de manière énergique par les cartes. Mais à cette époque, c’était un peu tabou. Il n’y avait pas de réseaux sociaux ni d’ouverture à la voyance comme nous le vivons aujourd’hui. Je pratiquais donc quelques fois, en secret, avec moi-même.

8. L’amour et la magie. En 2016, à l’âge de 22 et 23 ans, la cartomancie s’est invitée une fois de plus dans ma vie. Je ne connaissais pas encore ce terme. À l’époque, j’étais amoureuse d’un homme, mais j’étais dans une période où j’étais très confuse par rapport à ma vie. Je n’avais pas la même vision de l’amour que la plupart des gens ont, de manière conditionnelle ou charnelle, ma vie sentimentale a donc toujours été particulièrement complexe et stagnante.

 

Un soir de printemps, moi et mon crush sommes allés manger au restaurant. Un magicien est venu nous faire un tour de magie à la table et nous devions piger des cartes, et c’est à ce moment où j’ai eu mes premières visions. J’ai d’abord eu une vision de la carte que j’allais piger, je l’ai ressentie ainsi que les autres cartes. Il y avait un lien, une énergie spéciale entre moi et les cartes, et l’on m’a dit à travers elles que cette relation n’allait pas évoluer et que je devais me centrer sur ma vie. Le tour de magie presque terminé, le magicien m’a subtilement regardé dans les yeux, air confus. Devant tout le monde, il m’a dit que j’avais quelque chose de spécial. Je voyais ses pensées, mais il n’a pas voulu me dire, puisqu’il ne voulait pas « gâcher le spectacle ». Il devait lire en moi pour réussir son tour, mais j’avais mis une barrière afin qu’il ne lise pas mes pensées, je l’ai donc involontairement troublé. C’est à ce moment où j’ai découvert une certaine forme de magie. Mais étant novice, je ne me suis pas trop attardée à ça et j’ai continué ma vie normalement, les mois ont donc passés.

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J’ai fait le deuil de cette personne avec qui il n’y avait pas d’ouverture sentimentale, j’y avais de la tristesse, mais j’ai aussi compris qu’il y a un sens à tout. Cette relation m’a énormément fait évoluer sur le plan spirituel. Une nuit, j’ai eu une vision détaillée où j’étais dans un champs. Un énorme nuage est descendu du ciel, un peu comme une vague, et m’a traversé le corps d’un grand courant d’air. C’était comme une purification. J’ai compris que ce que je venais de vivre avait une signification particulière, mais que c’était aussi le début de quelque chose dans ma vie.

 

Plus tard dans cette même année où je vivais ce deuil, un soir de novembre, un ange a apparu mystérieusement dans un miroir lors d’une prise de photo. J’ai zoomé pour mieux voir, et j’ai compris quelque chose à ce moment.

9. Premier appartement. Les mois ont passés. Je me suis laissée du temps pour guérir ma sphère sentimentale, professionnelle et financière.

 

Suite à mon arrêt et mon passé à avoir basculé d’un emploi, l’un après l’autre, j’ai trouvé un travail alimentaire dans lequel j’avais réussi à me trouver une certaine place. J’ai donc quitté le domicile familial et je suis emménagée dans mon tout premier appartement avec mes chats, Mouky et Mousseline, que je considérais aussi comme ma famille dans mon parcours de vie. J’ai toujours eu une connexion assez spéciale avec les animaux. Je suis partie m’installer un peu plus loin de chez mon père, car il habite en campagne et je devais être en ville pour ma vie professionnelle et le transport. Je n’ai jamais réussi à avoir mon permis de conduire malgré plusieurs reprises, ce n’était pas pour moi, mais c’était aussi hors de mes moyens financiers.

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J’étais plutôt bien à mon appartement malgré le fait qu’il n’était pas très bien insonorisé. J’ai eu la chance d’avoir un logement tout près de mon emploi, j’allais donc au travail à pied et j’étais bien située dans la ville.

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Quelques fois, je vivais des phénomènes étranges également dans mon nouvel appartement.  Il m’est arrivée de voir mystérieusement une carte sur le sol de mon salon, bien droitement placée. Elle était rouge avec des anges illustrés.

10. Une lumière divine et un messager. Un matin du mois de janvier 2019, à 8 h, un son étrange m’a réveillée, mais je n’ai pas accordé d’attention particulière et j’ai décidé de rester dans mon lit à poursuivre encore un peu mon sommeil. Après quelques minutes de mon retour au sommeil où je dormais dos contre le matelas, j’ai soudainement ressenti une grande énergie d’amour et de bienveillance comme jamais je n’avais connu humainement. C’est comme si je n’avais plus de corps et je flottais dans une sorte de lumière. Je me sentais comme si j’étais dans une enveloppe, un peu comme un bébé encore dans son cocon. J’ai ensuite ouvert les yeux, mi-clos, et j’ai vu une lumière blanche et très brillante sortir par les rideaux de la fenêtre de ma chambre. Ce n’était pas une lumière comme nous le connaissons dans la vie terrestre ou le Soleil. C’était un blanc pur, un peu comme des diamants ou la neige avec le Soleil. C’était particulier. Je me suis ensuite levée de mon lit, et en ouvrant les rideaux de ma chambre, j’ai vu un grand oiseau sur le balcon qui me regardait. Bien que j’étais à deux mètres à peine environ, il  n’avait pas peur. J’ai alors compris d’où venait ces chants. Mon appareil photo était sur mon bureau à côté de moi, je l’ai donc photographié. Il était magnifique.

 

Lorsque je suis allée au travail par la suite, la direction a convoqué les employés à une réunion. Après trois ans de travail à cet emploi alimentaire, elle a annoncé le licenciement des employés pour fermeture de l’usine. J’étais triste, car c’était le seul travail que j’étais bien parmi tous les emplois précédents que j’avais durement travaillé dans le passé.

​​11. 33, mon guide. J’ai fait des consultations de voyance aux gens le souhaitant, depuis 2018, mais c’était que dans une optique de charité. Entre-temps, j’ai passé beaucoup d’années à me chercher professionnellement. Aucune étude et aucun métier traditionnel ne me cadrait bien. J’ai essuyé beaucoup de difficultés à essayer des emplois qui ne me venaient pas et par lesquels je gagnais la pauvreté financière et émotionnelle. Après une série d’événements, j’ai compris que j’avais un destin particulier à construire.

Un jour de novembre 2024, je me suis reconnectée à la spiritualité de manière significative. J’ai décidé de créer une communauté en ce sens et d’ajouter la voyance à mon arc professionnel. Lorsque j’ai commencé à travailler de manière formelle dans cette branche, quinze ans plus tard, le 33 est réapparu de manière fulgurante  dans ma vie. J’ai alors compris que j’avais quelque chose à y faire.​​

Je ne savais pas où j’allais,

mais j’ai toujours su ce que je faisais.

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